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Peut-on vraiment parler de vol entre mari et femme ? Cette question peut sembler paradoxale puisque le mariage implique une communauté de vie, souvent aussi de biens. Pourtant, des conflits conjugaux peuvent amener l’un des époux à s’accuser de vol : un retrait bancaire non autorisé, une disparition d’objets personnels inexplicable… Dans quelles conditions ces faits peuvent-ils être qualifiés pénalement de vol ? La réponse n’est pas aussi simple qu’elle en a l’air.
La question de l’imposition des allocations chômage suscite régulièrement des interrogations, tant chez les allocataires que chez les professionnels de la fiscalité. En effet, si ces prestations ont pour vocation de pallier la perte de revenus liée à une rupture d’emploi, leur traitement fiscal n’est pas pour autant exonéré de toute imposition. La fiscalité des revenus de remplacement, et en particulier des allocations chômage, répond à un ensemble de règles précises qu’il est indispensable de comprendre pour remplir correctement ses obligations déclaratives.
Lorsqu'un contrat de travail prend fin, à l'initiative de l'employeur, l'employé a droit à des indemnités de licenciement mais aussi, à des indemnités de chômage (ARE). Ces dernières étant destinées à permettre à la personne licenciée de subvenir à ses besoins, le temps de retrouver un emploi. Mais, cette période d'inactivité peut, au lieu d'être une période de recherche d'un autre contrat de travail, constituer le point de départ d'une aventure entrepreneuriale. Mais sera-t-il toujours possible de bénéficier des indemnités de licenciement dans ce cas ? Ou alors la personne concernée devra-t-elle y renoncer ? Cet article vise à apporter des réponses à ces questions.
Dans l’imaginaire collectif, la démission est souvent perçue comme un motif d’exclusion automatique des droits au chômage. Pourtant, si la règle générale exclut effectivement le bénéfice de l’allocation chômage après une démission, il existe de nombreuses exceptions prévues par la réglementation, qui permettent à certaines personnes démissionnaires d’être indemnisées. Mais alors quelles sont ces exceptions ?
Être radié de France Travail ou voir sa demande d'allocation refusée peut avoir des conséquences lourdes, surtout chez une personne déjà atteinte par la perte de son emploi. En ceci que ces situations ont un impact immédiat sur les revenus des personnes et l’accès à certains services. Toutefois, rien n'est encore perdu ! Les personnes concernées disposent de voies de recours pour faire valoir leurs droits. Mais quelles sont-elles ?
Le fait pour une personne de recevoir un courrier de Pôle emploi l'informant d’avoir perçu des sommes supérieures à celles auxquelles elle avait droit peut provoquer stress, incompréhension, voire colère. Alors qu'elle pensait avoir perçu légitimement ses droits, voilà qu’on lui réclame des centaines, parfois des milliers d’euros, à rembourser rapidement. Cette situation peut être source de stress et d’incompréhension, quelle qu'en soit la cause. Et, les sommes perçues à tort doivent en principe être remboursées. Mais alors, que faire dans une pareille situation ?
La perte d’un emploi, qu’elle soit prévue ou soudaine, met au quotidien de nombreux employeurs dans une situation de stress. Cela soulevant des questionnements au sujet de la détention de potentiels droits au chômage et le calcul de ces derniers. C'est pourquoi il est important de connaître les conditions d’ouverture des droits, de comprendre le mode de calcul de l’allocation et d'utiliser les bons outils pour vérifier ses droits sont autant d'étapes essentielles. Voici un guide, pour vous aider à voir plus clair et à estimer vos droits à l’Allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) versée par Pôle emploi.
L’indivision est une situation fréquente en droit civil, notamment à la suite d’une succession, d’un divorce ou d’un achat immobilier à plusieurs. Elle suppose que plusieurs personnes, appelées co-indivisaires, détiennent ensemble des droits de même nature sur un ou plusieurs biens. En théorie, cette gestion collective repose sur un accord entre les parties. Mais, cela n'empêche pas que les différends, de différentes natures, ne tardent pas souvent à émerger. Ces conflits, parfois latents, parfois ouverts, peuvent paralyser la gestion du patrimoine commun. Il existe heureusement plusieurs recours juridiques pour sortir de l’impasse, tout en respectant les droits de chacun.
Le décès d’un parent donne généralement lieu à une période de deuil, mais aussi, l'ouverture de la succession. Dans l’idéal, cette étape doit se dérouler dans le calme et la transparence, permettant à chaque héritier de recevoir sa part dans le respect des volontés du défunt et des dispositions légales. Mais il arrive que tout se complique : un héritier peut refuser de signer, retarder volontairement les démarches, s’opposer à la vente d’un bien indivis, ou contester les décisions des autres membres de la famille. Ce comportement, qu’il soit motivé par un désaccord réel, un sentiment d’injustice, ou par des conflits familiaux anciens, peut entraîner un blocage de la succession. Dans ce contexte, il devient essentiel de comprendre les recours possibles pour débloquer la situation, tout en préservant autant que possible l’équilibre familial.
Les relations familiales sont souvent fondées sur la confiance, l’entraide et la solidarité. Il est courant qu’un parent prête de l’argent à un enfant ou, à l’inverse, qu’un enfant soutienne financièrement un parent dans le besoin. Toutefois, lorsque le remboursement d’un prêt tarde ou n’intervient jamais, cette relation de confiance peut se transformer en une situation conflictuelle. Le parent créancier peut alors se retrouver face à cette interrogation : peut-on poursuivre un proche pour un prêt non remboursé ?
La vie conjugale repose sur des liens affectifs, mais aussi sur une confiance mutuelle. Cependant, dans certaines situations, cette confiance peut être considérablement remise en question. Notamment en cas de prise non consentie ou la disparition de biens ou documents d'un des époux. Cet acte constitue une infraction, au sens de l'article 411-1 du Code pénal, quelle que soit la nature des biens objets de vol. Toutefois, la protection conférée par l'immunité familiale aux époux mariés, rend ces derniers pénalement irresponsables en cas de vol. Sauf restrictions, dans des cas bien définis !
Lorsqu'un conflit naît au sein d'une famille, il entraîne avec lui une atmosphère de tension. Entre querelles, injustice, et incompréhension, la communication semble rompue au sein des membres d'une famille, lesquels vivaient en paix autrefois. Dans ce contexte, la première idée peut être de saisir la justice pour résoudre les différends qui les opposent. Mais, d'un autre côté, une procédure non contentieuse s'offre aussi à eux. Dans ce cas, quelle voie privilégier entre la procédure judiciaire et la médiation familiale ? Cet article vous aide à comprendre ces deux options, pour vous permettre de défendre les intérêts personnels, tout en rétablissant le lien familial.
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